Nëmme mat eis a.s.b.l. [FRAGE]

Antworten von déi Lénk auf Fragen der Organisation Nëmme mat eis a.s.b.l. : www.nemmemateis.lu

I ) Gleichberechtigte Teilhabe
1) Orientiert sich Ihrer Meinung nach die aktuelle Politik an den Prinzipien der Gleichstellung und aktiven Partizipation der Menschen mit Behinderung?
Wir teilen Ihre Meinung, dass dies oft nicht der Fall ist. In einer parlamentarischen Anfrage vom 29. Oktober 2012 haben wir besonders auf die Problematik behinderter Menschen im Spital hingewiesen und verweisen auch auf die Antwort der Regierung bezüglich der Anwendung bestehender Texte.

2) Wie werden Sie der in der Behindertenrechtskonvention BRK festgelegten Forderung nach statistischem Material nachkommen, um eine Entwicklung der Situation von Menschen mit Behinderung in Sachen Gleichstellung und Partizipation zu dokumentieren?
In einer parlamentarischen Anfrage vom 8.Juli 2013 an die Regierung hat unser Abgeordneter statistisches Material in Bezug auf die Umsetzung des Nationalen Aktionsplanes von 2010 angefordert. Bis heute ist keine Antwort erfolgt. Falls sich zeigen sollte, dass es keine oder nur eine ungenügende statistische Erfassung gemäss Behindertenkonvention geben sollte, werden wir nach den Wahlen auf eine Umsetzung dieser Bestimmung in all ihren Bestandteilen pochen.

3) Welche zusätzlichen Mittel und Maßnahmen sind Ihrer Meinung nach angebracht, um die Gleichstellung und die Partizipation der Menschen mit Behinderung zu fördern und zu gewährleisten?
Wir teilen ihre Forderung nach einem starken Schutz der Würde und des Rechtes auf Gleichstellung der Menschen mit Behinderung in der Verfassung, zusammen mit einer ebenso starken verfassungsmässigen Verankerung aller sozialen Rechte.

4) Wie steht Ihre Partei zu der durch die UN-BRK geforderten Maßnahme der gesetzlichen Anerkennung der nationalen Gebärdensprache und der Reglementierung der Anwendung spezifischer Kommunikationsformen (Gebärdesprache, Brailleschrift, leichte Sprache usw.) im Bildungs-, Arbeits- und Privatbereich.
Wir sind für eine gesetzliche Anerkennung und vor allem Förderung der von Ihnen aufgezählten, spezifischen Kommunikationsformen.

II) Gesellschaftliche Inklusion und selbstbestimmtes Leben
5) Wie plant Ihrer Partei, barrierefreie und bezahlbare Wohnmöglichkeiten in Luxemburg auszubauen?
Wir fordern in unserem Wahlprogramm eine Offensive in Richtung genügender und erschwinglicher Wohnungen, über einen massiven öffentlichen Wohnungsbau über den Weg eines öffentlichen Fonds und über die Einhaltung von gesetzlichen Vorschriften bei Mietwohnungen. Wir fordern, beim Wohnungsbau unbedingt auf Zugänglichkeit zu achten und werden Ihre Vorstellungen für ein barrierefreies Wohnen dabei berücksichtigen. Um schwerbehinderten Bürgern/innen ihr Recht auf freie Wahl ihres Lebensorts und ihrer Lebensart zu garantieren, müssen landesweit Strukturen wie „Betreutes Wohnen“ geschaffen werden.

6) Mit welchen Maßnahmen wollen Sie, wie in Artikel 19 der UN-BRK gefordert, die Autonomie der Menschen mit Behinderung zu stärken?
Das von Ihnen skizzierte Modell der persönlichen Assistenz kann ein gangbarer Weg zu mehr Autonomie sein, falls es auf starken sozialen Leistungen beruht.

7) Hat die Pflegeversicherung für Menschen mit Behinderung Ihrer Meinung nach ihren Zweck erfüllt bzw. welche Veränderungen schlägt Ihre Partei in sachen Pflegeversicherung vor?
Das System der Pflegeversicherung ist auf eine unzulässige Kostenbegrenzung nach dem Chronometerprinzip aufgebaut. Wir wollen die Pauschalen bei der Pflegeversicherung zurücknehmen und dafür endlich den vorgesehenen Beitrag auf den Kapitaleinkommen erheben, der von Finanzminister Frieden in perfekter Illegalität nie einkassiert wurde, und damit auch die Finanzierung sozial gerechter gestalten.

III) Bildung und Arbeitsmarkt
Wir teilen Ihre Meinung, dass die allgemeine Schule ihre Verantwortung übernehmen muss. In der Grundschule wollen wir deshalb, zur Unterstützung aller Schüler, die Verantwortung für eine Lerngruppe einem multiprofessionellen Team anstatt einem einzelnen Klassenlehrer übertragen. Die vorhandenen Ressourcen und Kompetenzen der Education différenciée (EDIFF) sollen in die Schulen eingliedert werden, das gleiche gilt auch für die Lyzeen
Wir wollen die Eingliederung von behinderten Personen in die Arbeitswelt – auch in private Betriebe – verstärkt vorantreiben, durch konkrete Maßnahmen wie job coaching, persönliche Assistenz auf der Arbeit oder peer consulting. Auch in den Behindertenwerkstätten müssen Weiterbildungsmöglichkeiten angeboten und Berufserfahrungen anerkannt werden.

Mobbing a.s.b.l. [FRAGE]

Antworten von déi Lénk auf Fragen der Organisation Mobbing a.s.b.l.: www.mobbingasbl.lu

Il est indéniable que le harcèlement moral (et sexuel) sur le lieu de travail constitue souvent une tragédie et un lourd fardeau pour les personnes concernées. En même temps, le harcèlement moral a un coût énorme pour les entreprises et la caisse nationale de santé. Rappelons que, selon des estimations non officielles, 9% des salariés au Luxembourg seraient victimes de harcèlement moral, qu’un tiers des absences sur les lieux de travail serait en relation avec des facteurs socio-psychologiques et que le harcèlement moral coûterait, selon certaines estimations, près de 26 millions d’euros par an à la Caisse Nationale de Santé.

Dans ce contexte l’accord-cadre européen sur le stress au travail, qui a été signé par les partenaires sociaux européens en date du 8 octobre 2004, de même que la convention signée par les partenaires sociaux le 25 juin 2009 relative au harcèlement et à la violence au travail, et qui a été déclarée d’obligation générale suite au règlement grand-ducal du 15 décembre 2009 portant déclaration d’obligation générale de la convention, constituent un progrès évident.
Or, une prochaine étape pour la lutte contre le harcèlement moral devrait être l’élaboration d’un projet de loi y relatif, tel qu’il a été proposé dans la motion adoptée par la Chambre des Députés le 10 octobre 2012.
Enfin, nous proposons également de réformer la législation sur les délégations du personnel, des comités mixtes et de la cogestion, en ce sens que la dimension du harcèlement moral y trouve sa place.

Syndicat des P&T [FRAGE]

Anwort von déi Lénk auf Fragen des Syndicat des P&T: syndicat-pt.lu

En réponse à votre courrier, nous sommes en mesure de vous confirmer que notre parti politique défend avec véhémence le statut d’établissement public de l’EPT et le maintien en son sein de la synergie de ses trois métiers postes, télécommunication/ICT et services financiers postaux.

Nous sommes fortement engagé pour un service public de qualité, en main public, qui garantit à chaque citoyen les mêmes droits et services de qualité, sans discrimination aucune quant au lieu de résidence ou de situation sociale, y compris dans le domaine du courrier postal, de l’accès aux réseaux internet et les services financiers. Dans ce contexte le concept de service universel devrait constituer une garantie minimale pour chaque citoyen de pouvoir accéder à ces services, et une obligation pour tout opérateur dans ce domaine, pour garantir ce service universel.

Evidemment nous soutenons vos propositions quant aux projets d’investissements nécessaires, le déploiement de la fibre optique garantissant à tout lieu et à tout citoyen (ou entreprise) un accès à très haut débit, de même que la construction d’un «data center» par l’EPT en tant qu’opérateur public.

En ce qui concerne le statut du personnel de l’EPT nous avons toujours soutenu le statut public et indépendant du personnel et soutenons votre démarche pour la convergence du statut du salarié vers un statut harmonisé, qui ne peut être inférieur à celui du fonctionnaire public. Nous étions toujours opposés au remplacement de fonctionnaires par des employés ou salariés à moindre coût – par exemple dans la carrière du facteur –, tout comme nous nous opposons à une réduction des coûts du personnel aux dépenses des conditions de travail ou de la qualité du service public ; de même, nous réfutons le détachement de fonctionnaires et employés publics dans des sociétés de droit privé. En fait, nous refusons toute privatisation de services publics, y compris postaux, et demandons la réintégration de tous les services postaux et de télécommunication dans l’entreprise publique qu’est l’EPT.

En ce qui concerne la libéralisation de secteur postal, nous n’avons plus à rappeler notre opposition farouche à cette démarche, aussi bien en tant que parti de gauche européen, que lors es discussions qui ont eu lieu à ce sujet à la Chambre des députés, ou nos députés André Hoffmann et Serge Urbany ont toujours été du côté des organisations syndicales. Dans ce contexte nous aimerions revenir également, lors de la prochaine session parlementaire, sur le projet de loi concernant les services postaux et notamment les articles visés dans votre courrier.

ACFAG – Association des Cadres Fonctionnaires de l’Administration Gouvernementale [FRAGE]

Antworten von déi Lénk an die Organisation ACFAG Association des Cadres Fonctionnaires de l’Administration Gouvernementale: www.acfag.lu

En vue des élections législatives, et pour le cas où notre parti serait appelé à participer à la constitution du nouveau Gouvernement, vous nous avez fait parvenir un certain nombre de prises de position et de doléances, à savoir:
– Prise de position du 5 janvier 2012 de l’Association des Cadres Fonctionnaires de l’Administration – Gouvernementale (ACFAG) au sujet des avant-projets de textes transposant les accords du gouvernement et de la CGFP dans le cadre de la réforme de la fonction publique
– Aide-mémoire relatif à l’entrevue avec Monsieur le Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme administrative du 6 février 2012
– Prise de position complémentaire de l’Association des Cadres Fonctionnaires de l’Administration Gouvernementale du 15 mai 2012
– Propositions de l’ACFAG en vue de l’élaboration d’un avant-projet de règlement grand-ducal relatif à l’organisation interne des départements ministériels
– Tableaux des tâches par carrières
Le principal objectif des propositions exposées dans ces documents est d’améliorer le fonctionnement de l’Administration gouvernementale en lui conférant des structures transparentes, notamment en définissant par la voie d’un règlement grand-ducal les missions générales et les tâches du personnel.

Nous sommes en mesure de vous affirmer (même si nous ne seront pas «appelé à participer directement à la constitution du nouveau gouvernement»)– que nous souscrivons parfaitement à vos propositions y formulés et que nous les soutiendront au sein de la Chambre des députés.
Font également parti de vos propositions l’abandon de la création de la nouvelle fonction de secrétaire général de département ministériel et la création d’un poste de directeur de l’Administration gouvernementale.

Dans ce contexte vous nous avez transmis les documents nécessaires pour comprendre votre désapprobation du projet de réforme déposé à la Chambre des Députés. Ainsi vous demandez
d’améliorer le fonctionnement de l’Administration gouvernementale en en fixant les modalités de fonctionnement et les tâches du personnel dans un règlement grand-ducal
– d’abandonner le projet de création de la fonction de secrétaire général de département ministériel
– de prévoir la création de la fonction de Directeur de l’Administration Gouvernementale
– de prévoir une concertation plus intense et plus constructive avec le personnel.
Nous vous soutenons dans votre démarche de convaincre le nouveau gouvernement du bien-fondé de vos arguments et d’accepter de modifier ou de retirer le projet de loi portant organisation de l’administration gouvernementale.

En ce qui concerne le projet de créer une nouvelle fonction de secrétaire général de département ministériel, vous nous avez adressé une copie de votre lettre au Conseil d’Etat, et nous comprenons parfaitement vos soucis à ce sujet.

En ce qui concerne l’attribution de primes aux fonctionnaires de l’État et l’Administration nementale, il y a lieu d’y revenir.

En ce qui concerne la création de la carrière du bachelier, nous ne partageons pas votre avis que la création d’une nouvelle carrière est superfétatoire. Considérant l’évolution des diplômes et études supérieures, la création de cette carrière est, à nos yeux, nécessaire. Néanmoins la validation de l’expérience et des acquis professionnelles, par exemple des rédacteurs qui font actuellement le travail des postulants de la carrière du bachelier, sera également nécessaire, afin de ne pas discriminer celles et ceux qui effectuent ces tâches déjà à l’heure actuelle.

Enfin, nous partageons vos réserves quant à la conception générale ainsi qu’à l’efficacité voulue et les conséquences des projets de réforme du statut et des carrières. Dans ce contexte nous nous permettons de vous transmettre en annexe nos réponses aux questions de la CGFP.

ULC – Union Luxembourgeoise des Consommateurs [FRAGE]

Antwort von déi Lénk auf ein Empfehlungsschreiben der ULC: www.ulc.lu

La consultation systématique de l’ULC dans l’ensemble des dossiers ayant une incidence directe sur le consommateur devrait être instituée et concerner également des dossiers comme ceux des services financiers, des transports, des services d’intérêt général, de la sécurité alimentaire, etc., afin de mieux assurer l’intérêt des consommateurs.

A nos yeux, il y aurait lieu de comprendre parmi cette énumération tout ce qui a trait au logement, à savoir les loyers et prix d’acquisition des logements qui ne cessent de s’envoler et qui rendent de plus en plus difficiles aux résidents en général et aux jeunes ainsi qu’aux couches sociales défavorisées en particulier de trouver un logement abordable dans notre pays.

L’introduction de l’action de groupe dans la législation luxembourgeoise constituerait un grand pas en avant pour faciliter l’accès à la justice aux consommateurs afin d’y défendre leurs intérêts à coût nettement moins élevé que dans des actions purement individuelles.

S’il est vrai en effet qu’une action menée actuellement pour obtenir reconnaissance d’un principe applicable à un grand nombre de consommateurs peut être invoqué par la suite à titre de jurisprudence par des personnes se trouvant dans la même situation, il n’en reste pas moins que l’impact de telles affaires de principe est de loin inférieur à celle d’une action de groupe, sans parler des prescriptions extinctives qui risquent de s’appliquer dans de nombreux cas.

Le règlement extrajudiciaire des litiges (REL) de consommation constitue également une priorité à insérer dans notre législation en vue de décharger nos juridictions d’une part et de ne pas causer des frais excessifs aux consommateurs d’autre part.

Il en va de même de l’application de la procédure européenne des petits litiges au niveau national moyennant la transposition du règlement communautaire (CE) 861/2007 aux litiges purement internes méritent une attention particulière.

D’une manière générale, il y a lieu de procéder à une information beaucoup plus large du justiciable sur les procédures actuellement existantes, notamment en matière d’ordonnance de paiement.

Enfin, l’aide financière de l’Etat en faveur de l’ULC serait à augmenter substantiellement pour lui permettre d’assurer sa mission d’information et d’assistance de l’ensemble des consommateurs du Grand-Duché dans les meilleures conditions possibles. Une organisation comme l’ULC ne peut en effet pas assurer sa mission publique de représentation et d’assistance des consommateurs sans disposer des moyens nécessaires à cet effet, compte tenu également des défis lancés et les problèmes causés par les nouvelles technologies (problème de l’OGM, contrôle des produits et de leur origine, sécurité alimentaire, etc.).

Enfin, en ce qui concerne la responsabilité politique concernant la défense des consommateurs, Déi Lénk, qui ne feront assurément pas partie du prochain gouvernement, estiment que l’idée d’un Ministre délégué aux affaires des consommateurs ou d’un secrétaire d’Etat nommé en appui du ministre de tutelle de l’ULC mérite réflexion.

Landesverband – Section Enseignement [FRAGE]

Antworten von déi Lénk auf Anregungen des Landesverbandes – Section Enseignement zur Situation der chargés de cours.

1) Décharge d’ancienneté des chargés de cours

En ce qui concerne la décharge d’ancienneté des chargés de cours, votre constat est absolument pertinent. Voilà pourquoi, nous sommes pleinement d’accord avec votre revendication y relative, nous l’avons toujours soutenu dans la passé et nous ferons tous les efforts nécessaires pour la réaliser dans les meilleurs délais possibles. En effet, les raisons bien fondées pour demander la même décharge d’ancienneté pour tout enseignement, indépendamment de son diplôme, n’ont plus besoin d’être justifiées. Les enseignants brevetés et les chargés de cours font le même travail et devraient bénéficier des mêmes conditions de travail.

2) Réaffectation annuelle des chargés de cours

Actuellement, chaque année tous les chargés de cours, y compris ceux en possession d’un contrat à durée indéterminée auprès du MEN, sont obligés de poser leur candidature à un poste d’enseignement indépendamment si leur propre poste (poste qu’ils occupaient pendant l’année scolaire échue) est resté vacant après l’affectation du personnel enseignant breveté par le MEN. Cette procédure va à l’encontre de la continuité retenue lors de la réforme de l’enseignement fondamental. Bien que nous n’ayons pas de solution toute prête à offrir, nous estimons que la stabilité et la continuité des équipes pédagogiques doit être renforcée. A notre avis, il y a lieu de vieller à une intégration optimale dans l’enseignement et les équipes pédagogiques des chargés de cours qui contribuent au fonctionnement de l’école publique. Nous aimerions également favoriser d’avantage la formation continue, selon un système modulaire, capitalisable. Enfin, il s’agit d’affecter tout enseignant à une école communale. Le maintien dans l’école choisie devrait être de principe pour chaque enseignant et les règles de réaffectation – aussi bien de réaffectation volontaire, que de réaffectation nécessaire en cas d’insuffisance de postes – devraient être précisées ensemble avec les représentants des enseignants (y compris de ceux des chargés de cours).

Lieu d’initiatives et de services des étudiants [FRAGE]

Antworten von déi Lénk auf Anregungen der Organisation Lieu d’initiatives et de services des étudiants au Luxembourg: lisel.lu

—> les propositions

Amender la loi sur la libre circulation des personnes et l’immigration
1.a. Il n’est pas normal que les étudiants internationaux soient assujetis à de telles contraintes financières. déi Lénk soutient l’amendement de cette loi dans ce sens.
1.b. Pourquoi uniquement 6 six mois? 18 mois seraient tout à fait adéquats, car la recherche d’un emploi sur le marché du travail s’avère de plus en plus ardue. A fortiori pour les étudiants internationaux. Nous estimons également qu’il faille mettre fin à la restriction de changer de statut à la fin de son parcours académique.

Adopter le projet de loi N°6283 modifiant la loi du 12 août 2003 portant création de l’Université du Luxembourg et modifiant le Code de la sécurité sociale.
2. déi Lénk soutient cette revendication. Cette discrimination ne fait plus sens à une époque où les cursus académiques peuvent souvent s’allonger.

Amender le code du travail.
3.a. déi Lénk soutient cette proposition.
3.b. déi Lénk soutient également cette proposition.

Amender la loi sur l’aide financière de l’Etat pour études supérieures.
4. déi Lénk soutient cette proposition.

Amender la loi sur les aides au logement.
5.a. déi Lénk soutient absolument cette revendication. Le logement constitue une de nos priorités. La pénurie de logements abordables au Luxembourg est insupportable. Si des salarié-e-s rencontrent des problèmes afin de se loger dignement, que dire des étudiants?
5.b. Dans notre programme électoral, au sujet de la politique du logement, déi Lénk évoque clairement le soutient (en plus des diverses mesures à prendre) à des formes de logement alternatives et coopératives. Vous avez tout notre soutien sur ce point.

ALEM – Luxemburger Medizinstudenten [FRAGE]

Antwort von déi Lénk an den Verband der luxemburger Medizinstudenten ALEM: www.alem.lu

Zu Recht stellt Ihr fest, dass in Europa Verkehrsunfälle nach wie vor die häufigste Todesursache in der Altersklasse der 15-29 Jährigen sind (2009: 34.500 tödliche Unfälle). Auch ist es eine Tatsache, dass die Zeit bis zur Erste-Hilfe-Leistung ausschlaggebend und prognostisch für das Überleben des Verunglückten ist und ein Erste-Hilfe-Kurs einige essentielle Maßnahmen lehren kann, die im Notfall zu treffen sind. Bis ein Rettungswagen, geschweige denn ein Notarzt an Ort und Stelle des Geschehens ist, kann wertvolle Zeit vergehen. Da der Ersthelfer das erste Glied in der Rettungskette bildet, ist er der Einzige der in dieser, für die Prognose wichtigen Situation etwas bewirken kann, woraus Ihr die Notwendigkeit ableitet, einen Erste-Hilfe-Kurs beim Belegen der Führerscheinprüfung im Großherzogtum einzuführen.

Prinzipiell können wir dieses Anliegen unterstützen. Überhaupt sollte Erste-Hilfe-Maßnahmen bereits in der Schule gelehrt werden und ein angepasster Erste-Hilfe-Kurs spätestens beim Ablegen des Führerscheins erfolgen. Dennoch wollen wir vor einer einseitigen Sichtweise der Problematik der Verkehrsunfälle warnen.

Genauso wichtig wie ein Erste-Hilfe-Kursus ist es das Verständnis zu übermitteln, dass ein Auto ebenso gefährlich sein kann, wie eine Waffe, und deswegen ein angepasstes Benehmen beim Fahren zu lernen, um „Unfälle“ zu vermeiden! Autofahren ist nicht vor allem individuelle Freiheit, wie uns die Automobilindustrie und ihre Lobby vormachen wollen, sondern erfordert Respekt vor anderen Verkehrsteilnehmern und ein verantwortungsvolles Miteinander.

Auch scheint es uns wichtig, den öffentlichen Gemeinschaftstransport systematisch zu fördern, damit niemand auf Autofahren angewiesen ist um sich an seinen Studien- oder Arbeitsplatz zu begeben, Besorgungen zu erledigen oder für Freizeitaktivitäten. Deshalb setzen déi Lénk sich ein für einen umfassenden und flächendeckenden öffentlichen Transport, der das Autofahren im Prinzip überflüssig machen soll. Natürlich müssen Landesplanung und allgemeine Bebauungspläne dementsprechend angepasst werden.

Auch sollen die Straßen so gestaltet werden, dass übermäßige Geschwindigkeiten verhindert werden. Natürlich hat Verkehrssicherheit auch einen repressiven Aspekt, doch sollen bauliche und verkehrspsychologische Möglichkeiten zur Förderung der Verkehrssicherheit flächendeckend und der jeweiligen Ortslage entsprechend eingesetzt werden.

Nicht zuletzt pochen wir auf flächendeckende und qualitativ hochwertige Rettungsdienste. Die derzeitige Reform des Rettungswesens und die Schaffung eines gemeinsamen Rettungsdienstes soll unserer Auffassung nach als Ziel haben allen Menschen, unabhängig von ihrem Aufenthaltsort, innerhalb kürzester Zeit (7-10 Minuten) professionelle Hilfe zukommen zu lassen. Dazu gehören angepasste Verwaltungsstrukturen und die notwendigen Infrastrukturen auf nationaler, regionaler und lokaler Ebene, eine hochwertige Ausbildung für die professionellen und die freiwilligen Mitarbeiter/innen, sowie angepasste Arbeitsbedingungen und Motivation. Gerne legen wir Ihnen unsere Diesbezüglichen Vorschläge zur Reform des Rettungswesens bei (siehe Anhang).

Euren Fragebogen möchten wir wie folgt beantworten:

Sehen Sie die Ablegung eines Erste Hilfe-Kurses als notwendig an?
Auf jeden Fall!

Fühlen Sie (oder die Mehrheit von Ihnen) sich in der Lage in einer Notsituation Erste-Hilfe leisten zu können?
Dies können wir nicht stellvertretend für unser Kandidaten/innen und Mitglieder beantworten.

Würden Sie sich wünschen mehr über Erste-Hilfe zu wissen?
Ja, wir glauben, dies würden die meisten Menschen sich wünschen.

Unterstützen Sie unsere Forderung nach einer verpflichtenden Ablegung eines Erste-Hilfe-Kurses vor Erhalt des Führerscheins?
Ja, wir unterstützen dies Anliegen, meinen aber auch, dass beim Führerschein ein verantwortungsvoller Umgang mit dem Auto vermittelt werden muss.

Sind Sie der Auffassung, dass die Einführung eines Erste-Hilfe-Kurses sich vorteilhaft auf die Zahl der Straßenopfer in Luxemburg auswirken könnte?
Wenn der Erste-Hilfe-Kurses zu vorsichtigerem Fahren Anlass gibt, sicherlich; ein Erste-Hilfe-Kurses allein ändert nichts an der Zahl der Verkehrsunfälle, höchstens an deren rechtzeitigen Versorgung mit essentiellen Maßnahmen.

Sollte Ihrer Meinung nach ein Erste-Hilfe-Kurs verpflichtend sein oder wie bisher nur den Freiwilligen überlassen bleiben?
Erste-Hilfe-Maßnahmen sollten bereits in der Schule gelehrt werden; ein angepasster Erste-Hilfe-Kurs ist spätestens beim Ablegen des Führerscheins erforderlich.

Falls ihre Partei den Gesundheits- und/oder Transportminister stellt, was würden Sie in den ersten 100 Tagen unternehmen? Welche generellen Veränderungen möchten Sie verwirklichen und wie?
Landesplanung und allgemeine Bebauungspläne müssten angepasst werden, um einen umfassenden und flächendeckenden öffentlichen Transport zu ermöglichen, der das Autofahren mittelfristig überflüssig macht. Das Rettungswesen soll so reformiert werden, dass allen Menschen, unabhängig von ihrem Aufenthaltsort, innerhalb kürzester Zeit professionelle Hilfe zukommt.

Welche Forderungen stellen Sie in Sachen Verkehrssicherheit?
Straßen sollen so gestaltet werden, dass übermäßige Geschwindigkeiten verhindert werden. Insbesondere sollen bauliche und verkehrspsychologische Maßnahmen zur Förderung der Verkehrssicherheit umgesetzt werden.

Pompjeesverband [FRAGE]

Antworten von déi Lénk zu einer Stellungsnahme der Fédération Nationale des Corps de Sapeurs-Pompiers an dem Comité des Sages de la Protection Civile zur Reform des Rettungswesens in Luxemburg: http://www.pompjeesverband.lu/

Das Schreiben ist –>hier zu finden.

Auch wenn déi Lénk in ihrem kurzen Wahlprogramm das Thema Rettungswesen in Luxemburg nicht eingehender behandeln, so behalten alle ihre Aussagen und Initiativen der vergangen Jahre in Bezug auf das Rettungswesen ihre volle Gültigkeit. An erster Stelle steht dabei für uns die systematische Verteidigung elementarer Rechte sowie umfassender und qualitativ hochwertiger öffentlicher Dienstleistungen für alle Bürger. Dazu gehört auch das Recht auf Prävention (Unfallverhütung, Brandschutz, …) und das Recht auf direkte Hilfe in der Not, das heißt das Recht auf rechtzeitiges Eingreifen qualifizierter Rettungsdienste vor Ort. Um dies zu verwirklichen bedarf es eines flächendeckenden, effizienten Rettungsdienstes.

Feuerwehr und Rettungsdienste, mit ihren freiwilligen und professionellen Mitarbeitern/innen, sind Dreh- und Angelpunkt des hiesigen Rettungswesens. Ihnen gebührt volle Anerkennung und mehr Unterstützung.

déi Lénk drängen auf die notwendige Reform des Rettungswesens durch die Schaffung eines gemeinsamen öffentlich-rechtlichen Rettungsdienstes, durch den Ausbau der nationalen, regionalen und lokalen Infrastrukturen, und durch die Verbesserung von Ausbildung und Motivation der freiwilligen und professionellen Mitarbeiter/innen.

Die Reform des Rettungswesens und die Schaffung eines gemeinsamen Rettungsdienstes soll als Ziel haben allen Menschen, unabhängig von ihrem Aufenthaltsort, innerhalb kürzester Zeit (7-10 Minuten) professionelle Hilfe zukommen zu lassen. Der Zusammenschluss von Feuerwehr und Zivilschutz, unter Wahrung angestammter Rechte insbesondere im professionellen Bereich, in einer öffentlichen Verwaltung, die über genügend Mittel verfügen muss, ist ein wichtiger Schritt in diese Richtung. Zusätzlich zu einer gemeinsamen Verwaltung gilt es flächendeckend die notwendigen Infrastrukturen zu schaffen, um jederzeit und in kürzester Zeit die notwendigen Einsätze durchführen zu können. Dazu bedarf es sowohl einer nationalen Koordinations- und Interventionszentrale, als auch regionaler Zentren und lokaler Stützpunkte. Wir werden nicht müde – weder im Parlament und im Gemeinderat der Hauptstadt, noch in unserer gewerkschaftlichen Aktivität – auf den kurzfristigen Beginn der Bauarbeiten am Rond-Point Gluck zu pochen. Die baldmöglichste Realisierung dieses nationalen Interventionszentrums für das gemeinsame Rettungswesen (Feuerwehr und Sanitäter), zusammen mit einer Schule für professionelle und freiwillige Mitarbeiter/innen, ist eine absolute Voraussetzung und ein wichtiges Standbein der notwendigen Reform.

Die nationale Leitstelle und die regionalen Zentren sollen mit professionellen Mitarbeiter/innen besetzt und abgesichert sein; zusätzlich können freiwillige Helfer/innen als Unterstützung herangezogen werden. Auch in den lokalen Stützpunkten müssen die freiwilligen Helfer von Berufssanitätern umrahmt sein.

Die Ausbildung der professionellen Mitarbeiter/innen soll sich, sowohl im Bereich der Brandbekämpfung als auch im Bereich der Sanitäter, an der Ausbildung der Berufsfeuerwehrleute der Hauptstadt orientieren. Es soll auf eine einheitliche Ausbildung im professionellen Bereich gepocht werden, um dieselben Interventionsmöglichkeiten für alle Professionellen zu gewährleisten. Auf diese gemeinsame Ausbildung aufbauend können, neben der notwendigen permanenten Weiterbildung, Zusatzformationen in bestimmten Bereichen durchgeführt werden.

Die Ausbildung der freiwilligen Mitarbeiter/innen soll ebenfalls ausgebaut werden. Da durch die freiwilligen Helfer/innen fest eingestellt Mitarbeiter/innen eingespart werden, soll die Freistellung der freiwilligen Helfern/innen in ihren Betrieben (etwa in Form eines „congé pour services de secours“) ausgebaut und für die Mitarbeit während ihrer Freizeit soll ihnen eine angemessene Entschädigung zugestanden werden.
Selbstverständlich müssen Staat und Gemeinden den Rettungsdiensten die notwendigen Mittel zur Verfügung stellen, um die Finanzierung der Einsatzmittel, Kommunikationsmittel, Ausbildungen, Entschädigungen, usw. zu ermöglichen. Dabei muss darauf geachtet werden, dass die Gemeinden nicht über Maß strapaziert werden, das heißt nicht mehr aufbringen müssen als bisher, so dass der größte Teil des Rettungswesens vom Staat selbst finanziert werden muss. Auf die – auch nur teilweise – Privatisierung von Rettungsaufgaben soll auf jeden Fall verzichtet werden. Des Weiteren ist auf ordentliche Arbeitsbedingungen der professionellen und der freiwilligen Mitarbeiter/innen zu achten. Die Arbeitsbedingungen und die Entwicklung der Laufbahnen müssen mit den Gewerkschaften aus diesem Bereich ausgehandelt werden.

In diesem Sinn werden sich déi Lénk und ihre Mitstreiter/innen in der Abgeordnetenkammer, den Gemeinden und Gewerkschaften, auch weiterhin für die notwendige Reform des Rettungswesens einsetzen.

Keen ass illegal/Campagne contre le centre fermé [Frage]

Antworten von déi Lénk auf Fragen der Organisation « Keen ass illegal/Campagne contre le centre fermé ».

Fragen:
1) Etes-vous pour ou contre le centre de rétention?
2) Si oui, pourquoi? Si non, pour quelles raisons?

déi Lénk est et a toujours été contre toute sorte de centres de rétention pour demandeurs d’asile et réfugié-e-s. Un demandeur d’asile n’est pas un criminel et ne peut pas être traité comme tel en étant privé de sa liberté de mouvement.

Personne ne quitte son pays sans raison. Les gens qui sont poursuivis pour leur convictions politiques, appartenance religieuse ou identité sexuelle ou qui ont fuit la guerre, la destruction, les catastrophes écologiques et sociales doivent être accueillies au Luxembourg.

De même, d’éventuelles retrouvailles en famille ne devraient pas être empêchées. Le fardeau écrasant de l’amortissement de dettes, tout comme les diktats du IWF et de la Banque mondiale aggravent la misère des plus démunis au Sud et à l’Est. La politique commerciale de l’UE détruit le fondement de la vie de millions de gens qui sont matériellement contraint d’émigrer. Le changement climatique mène à un accroissement drastique des flux migratoires.

Émigrer devient bien souvent l’ultime chance de survie. Le «rideau de fer» de Schengen est inhumain. Ce n’est que par un ordre économique juste que nous pourrons atteindre une plus juste répartition à niveau mondial et endiguer les flux migratoires.

Nous voulons humaniser la politique d’asile et de migration européenne, ancrer le droit fondamental de liberté de mouvement et mettre fin aux milliers de morts aux frontières européennes. Il faut également supprimer le système des centres fermés européens pour les migrants/migrantes illégalisé-e-s, de même que l’agence militarisée européenne de gestion des frontières Frontex.

déi Lénk veut une politique différente à l’égard des réfugiés et des migrants:
– les conventions de Genève doivent être appliquées dans leur intégralité; le Luxembourg doit insister sur l’annulation de la directive «retour» (directive de la honte) et retirer sa propre loi répressive sur l’asile ;
– l’accueil et l’assistance des réfugiés doivent être améliorés (logement, infrastructures, droit au travail);
– pas de centre d’expulsion au Luxembourg; la prison d’expulsion du Findel doit être transformée en «Centre d’accueil», équipé de personnel qualifié, où les personnes pourront se mouvoir librement, pour qu’ils puissent digérer leur trauma et se retrouver dans le nouvel environnement;
– le Luxembourg doit cesser de participer à FRONTEX, « l’Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures» et s’engager dans la dissolution de tous les centres d’expulsion financés par l’UE;
– un droit de séjour devrait régler la recherche d’un emploi dans le cadre d’une politique d’immigration.

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