Wat fir ee Staat wëlle mir?

De Sonndeg woar Nationalfeierdag, woumat jiddereen wahrscheinlech e bëssen eppes aneres verbënnt. Op alle Fall ass et awer intressant an deem Kontext, sech Gedanken iwwer déi lëtzebuergesch Verfassung ze maachen. Emmerhin ass dat d’Basis vun engem Land, d’Définitioun vum Staat, souwéi vun de Rechter a Flichten vu senge Bierger.

Well eis Verfassung schon e bëssen an den Alter komm ass, gëtt zanter enger gefillter Eiwegkeet un enger Reform geschafft.

Leider ass daat bis elo gréisstendeels hannert zouenen Dieren geschitt.

A leider limitéiert sech den aktuelle Projet och just op kosmetesche Verpléischterungen amplaz sech fundamental Froen iwwer d’Ausriichtung vun desem Dokument ze maachen.

Dowéint hunn déi Lénk 2015 kuerzerhand eng eegen, alternativ, Verfassung ausgeschafft. Eis Versioun berücksichtegt déi grouss gesellschaftlesch Verännerungen, déi mer an de leschten 200 Joer erliewt hunn.

Mäer wëllen zum Beispill endlech de Sozialstaat an der Verfassung verankeren mat senger Missioun, sozial Ongläichheeten ze bekämpfen an eng méi gerecht Gesellschaft ze schafen.

Fundamental Iddien, wéi d’Recht op eng sécurité sociale, d‘Rechter vun de schaffende Leit, d’Streikrecht, mä awer och zum Beispill e Recht op dezent Wunnen, wëlle mer méi stoark an der neier Verfassung verankeren.

Och eis Demokratie huet sech stoark entwéckelt säit et eis aktuell Verfassung gëtt. Am Mee réicht hu mer 100 Joer allgemengt Walrecht zu Lëtzebuerg gefeiert.

Déi Lénk setzen sech doriwwer eraus fir méi direkt Demokratie an, an dofir dass de Staatschef vun de Leit gewielt soll ginn.

Ma an eiser alternativer Verfassung sinn och de Schutz vun der Biodiversitéit, vun den Déieren a vun den natierleche Ressource festgeschriwwen. An d’Verpflichtung vum Staat, den ekologesche Foussofdrock vu Lëtzebuerg ze reduzéieren.

Eng Gesellschaft ass méi, vill méi, wéi e legalen Text, sou gutt en och ëmmer ass.

An awer ass d’Verfassung vun engem Land e Spiggel vu senger Gesellschaft, eng Beschreiwung vun deem, wat mer bis dato erreecht hunn a wou mer nach wëllen hin.

A genau dowéint ass et wichteg, dass mer all gemeinsam driwwer diskutéieren, wéi eis nei Verfassung soll ausgesinn.

Dat ass net an e puer Woche geschitt, ma dat verlaangt no engem groussen Débat iwwer Méint, wann net Joeren, wou wierklech jidderee sech kann ausdrécken.

D’Fro no eiser Verfassung däerf kee parteipolitescht Geplänkels sinn. Et ass eng grondleegend Fro:

Wat fir e Staat, wat fir eng Gesellschaft wëlle mer?

Projet Google Datacenter – E Maulkuerf fir d’Chamber? Net mat déi Lénk!

Bei der Debatt iwwer de Projet vum Google Datenzenter huet d’Regierung drop bestanen, dass et guer kee Projet Google géif ginn. D’LSAP ass esou guer souwäit gaange fir ze soen, dass d’Parlament an dësem Dossier guer näischt ze soen hätt. Net mat déi Lénk! Nodeem d’Regierung dëse Projet mat groussem Pomp ugekënnegt huet an alles dru gesat huet fir sou séier wéi méiglech déi néideg Terrain’en fir dësen Datenzenter zesummenzekréien, si mir an der leschte Méint och gewuer ginn, dass den enormen Energieverbrauch vun dem Datenzenter de Klimaschutz zu Lëtzebuerg nach méi géif a Fro stellen an ausserdeem de Waasserverbrauch net ze verantworte wir. Dat si ganz entscheedend Froen, déi d’Leit all betreffen. An d’Parlament muss doriwwer diskutéieren an decidéieren.

Eis parlamentaresch Fro zum Thema.

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Lors du débat autour du projet Google impliquant un méga centre de données, le gouvernement a insisté qu’il n’existerait pas de projet Google. Le LSAP, est même allé jusqu’à nier la capacité de décision du parlement. Pas de ça avec déi Lénk! Après que le gouvernement avait annoncé ce projet en grande pompe, tout en veillant à accaparer le plus vite possible les terrains nécessaires à l’implantation du centre de données, nous avons appris au cours des derniers mois que la consommation énergétique d’un tel centre de données remettra encore davantage en question la protection du climat au Luxembourg. Même la consommation en eau impliquée par ce projet, ne peut être raisonnablement assumée. Ce sont des questions décisives qui concernent tout le monde. Le parlement doit en débattre et en conclure.

Notre question parlementaire à ce sujet.

 

Fuerderunge vun der CGFP: déi Lénk huele Stellung

Prise de position par rapport à la réforme statutaire et la réforme des carrières d’octobre 2015 – déi Lénk (20 février 2017)

Permettez-nous de rappeler que lors des débats et du vote des lois concernant la réforme statutaire et la réforme des carrières des fonctionnaires et employés de l’État à la Chambre des Députés le 24 mars 2015, la sensibilité de ‘déi Lénk’ à soumis au vote du Parlement pas moins de 50 amendements, de même que 4 motions concernant les projets de loi en question.

50 propositions concrètes

En ce qui concerne la réforme du statut général des fonctionnaires, nous avions présenté 19 amendements qui traitaient de la durée du stage, de la gestion par objectifs, de la consultation des représentants du personnel lors de la description des postes, du programme de travail et de l’organigramme, de l’entretien individuel, du système d’appréciation, de l’insuffisance professionnelle, de l’ordre de justification, du remboursement prévu des dispenses de service pour formation, du congé de reconnaissance, du reste du congé de récréation lors de la cessation des fonctions, de l’interdiction d’autres occupations lors du congé pour travail à mi-temps, de l’élection démocratique des représentations du personnel, de l’élection de représentations du service, des missions de la représentation du personnel, des attributions d’un comité mixte à conférer également aux représentations du personnel, des conséquences de l’insuffisance professionnelle.

En ce qui concerne la réforme de la loi portant règlementation de la grève, nos 4 amendements traitaient du préavis lors du recours à la grève, de la prolongation d’une grève, du droit à la grève générale ou intersectorielle et la grève de solidarité.

Par rapport à la loi fixant le régime des traitements et des avancements, nous avions soumis 19 amendements concernant la computation de la période de stage, la majoration d’indice, la procédure d’appréciation pour majoration, les critères de nomination à un poste à responsabilité particulière, la définition de l’effectif total, les postes à responsabilité particulière dans l’enseignement, l’indemnité de stage, le maintien de l’expectative actuelle d’avancement et de promotion pendant 5 années, la situation spéciale de la Police et plus particulièrement les grade de substitution et les carrières reclassées.

Par rapport à la loi déterminant le régime et les indemnités des employés de l’État, nous avions soumis 7 amendements concernant  l’insuffisance professionnelle, le licenciement pour raison de santé, la période de stage et les carrières reclassées.

Enfin, les motions présentées lors du débat à la Chambre des Députés concernaient encore les carrières reclassées, le suivi de la mise en pratique de la réforme et son adaptation courante aux besoins détectés, l’élection libre des représentations du personnel de l’État et le respect de la convention no 151 de l’OIT.

Le détail des amendements et motions, les débats et votes y relatifs, peuvent être consultés dans le compte rendu des séances publiques de la Chambre des Députés no 11 de la session ordinaire 2014-2015, séance du mardi, 24 mars 2015.

Vous voyez que nous avons pris très au sérieux la réforme du statut et des carrières des fonctionnaires et employés de l’État. Les modifications que nous avions proposées à la Chambre des Députés ont été largement expliquées, aussi bien lors des débats préparatoires dans la commission de la fonction publique, que lors de la séance plénière du 24 mars 2015. Malheureusement, et à l’encontre de leur bien-fondé, aucun de ces amendements n’a été accepté par la majorité des députés.

Nous estimons également que les amendements et les motions en question gardent toujours leur actualité.

L’essentiel des propositions de déi Lénk

Nous estimons toujours qu’un stage généralisé de 3 ans n’est pas adapté aux besoins et qu’il y a lieu d’adapter la durée du stage aux besoins de formation et d’insertion professionnelle de la carrière respective. Ainsi, la durée du stage pourrait être réduite à 6 mois, un an ou deux ans, en fonction des besoins réels. La durée de 3 ans, ensemble avec la réduction des indemnités (80/80/90) ne constitue qu’une pure mesure de réduction des dépenses. Cette mesure rends moins attractives les carrières auprès de l’Etat, avec toutes les conséquences que ceci comporte sur le recrutement, le manque de personnel et la motivation. Voilà pourquoi nous continuons à revendiquer une indemnité de stage à 100%, au lieu des 80/80/90 décidées en mars 2015. En plus, nous estimons que la période de stage doit être computée à 100% lors de l’établissement des carrières.

Nous insistons sur l’indépendance et la neutralité des fonctionnaires de l’Etat, une parfaite qualification. Nous estimons que le travail des fonctionnaires de l’Etat est à apprécier en fonction de ces objectifs d’un service public de haute qualité, et en aucun cas selon des critères du secteur privé. Par conséquent, nous voulons modifier la gestion par objectifs et l’appréciation, pour autant qu’elle soit nécessaire.

Nous estimons que le personnel des administrations de l’État, de même que leurs représentants du personnel, doivent être associés étroitement à l’élaboration des objectifs des services, à la définition des besoins en personnel et matériel, à l’élaboration des programmes de travail et des organigrammes.

Nous nous sommes penchés en détail sur les carrières dite «reclassées» afin que leur revienne tout le bénéfice du reclassement ; voilà pourquoi nous continuons à réfuter les mécanismes qui les privent d’un reclassement complet.

Nous estimons qu’il n’est pas nécessaire de revenir dans la présente sur tous les détails exposés lors des débats sur la réforme du statut et des carrières à la Chambre des Députés, qui gardent toute leur actualité.

déi Lénk continuera à suivre de près l’évolution d’un secteur public et de la situation de son personnel. Un service public au service des citoyens, y compris par une rémunération correcte, la qualification, l’indépendance et la neutralité de son personnel, nous tient à cœur. Dans l’intérêt de tout citoyen, nous nous opposons à toute privatisation de services publics, qui, bien au contraire, doivent être renforcés continuellement en fonction des besoins de notre société.

 

 

 

Prise de position par rapport à la réforme statutaire et la réforme des carrières d’octobre 2015

Permettez-nous de rappeler que lors des débats et du vote des lois concernant la réforme statutaire et la réforme des carrières des fonctionnaires et employés de l’État à la Chambre des Députés le 24 mars 2015, la sensibilité de ‘déi Lénk’ à soumis au vote du Parlement pas moins de 50 amendements, de même que 4 motions concernant les projets de loi en question.

50 propositions concrètes

En ce qui concerne la réforme du statut général des fonctionnaires, nous avions présenté 19 amendements qui traitaient de la durée du stage, de la gestion par objectifs, de la consultation des représentants du personnel lors de la description des postes, du programme de travail et de l’organigramme, de l’entretien individuel, du système d’appréciation, de l’insuffisance professionnelle, de l’ordre de justification, du remboursement prévu des dispenses de service pour formation, du congé de reconnaissance, du reste du congé de récréation lors de la cessation des fonctions, de l’interdiction d’autres occupations lors du congé pour travail à mi-temps, de l’élection démocratique des représentations du personnel, de l’élection de représentations du service, des missions de la représentation du personnel, des attributions d’un comité mixte à conférer également aux représentations du personnel, des conséquences de l’insuffisance professionnelle.

En ce qui concerne la réforme de la loi portant règlementation de la grève, nos 4 amendements traitaient du préavis lors du recours à la grève, de la prolongation d’une grève, du droit à la grève générale ou intersectorielle et la grève de solidarité.

Par rapport à la loi fixant le régime des traitements et des avancements, nous avions soumis 19 amendements concernant la computation de la période de stage, la majoration d’indice, la procédure d’appréciation pour majoration, les critères de nomination à un poste à responsabilité particulière, la définition de l’effectif total, les postes à responsabilité particulière dans l’enseignement, l’indemnité de stage, le maintien de l’expectative actuelle d’avancement et de promotion pendant 5 années, la situation spéciale de la Police et plus particulièrement les grade de substitution et les carrières reclassées.

Par rapport à la loi déterminant le régime et les indemnités des employés de l’État, nous avions soumis 7 amendements concernant l’insuffisance professionnelle, le licenciement pour raison de santé, la période de stage et les carrières reclassées.

Enfin, les motions présentées lors du débat à la Chambre des Députés concernaient encore les carrières reclassées, le suivi de la mise en pratique de la réforme et son adaptation courante aux besoins détectés, l’élection libre des représentations du personnel de l’État et le respect de la convention no 151 de l’OIT.

Le détail des amendements et motions, les débats et votes y relatifs, peuvent être consultés dans le compte rendu des séances publiques de la Chambre des Députés no 11 de la session ordinaire 2014-2015, séance du mardi, 24 mars 2015.

Vous voyez que nous avons pris très au sérieux la réforme du statut et des carrières des fonctionnaires et employés de l’État. Les modifications que nous avions proposées à la Chambre des Députés ont été largement expliquées, aussi bien lors des débats préparatoires dans la commission de la fonction publique, que lors de la séance plénière du 24 mars 2015. Malheureusement, et à l’encontre de leur bien-fondé, aucun de ces amendements n’a été accepté par la majorité des députés.

Nous estimons également que les amendements et les motions en question gardent toujours leur actualité.

L’essentiel des propositions de déi Lénk

Nous estimons toujours qu’un stage généralisé de 3 ans n’est pas adapté aux besoins et qu’il y a lieu d’adapter la durée du stage aux besoins de formation et d’insertion professionnelle de la carrière respective. Ainsi, la durée du stage pourrait être réduite à 6 mois, un an ou deux ans, en fonction des besoins réels. La durée de 3 ans, ensemble avec la réduction des indemnités (80/80/90) ne constitue qu’une pure mesure de réduction des dépenses. Cette mesure rend moins attractives les carrières auprès de l’Etat, avec toutes les conséquences que ceci comporte sur le recrutement, le manque de personnel et la motivation. Voilà pourquoi nous continuons à revendiquer une indemnité de stage à 100%, au lieu des 80/80/90 décidées en mars 2015. En plus, nous estimons que la période de stage doit être computée à 100% lors de l’établissement des carrières.

Nous insistons sur l’indépendance et la neutralité des fonctionnaires de l’Etat, une parfaite qualification. Nous estimons que le travail des fonctionnaires de l’Etat est à apprécier en fonction de ces objectifs d’un service public de haute qualité, et en aucun cas selon des critères du secteur privé. Par conséquent, nous voulons modifier la gestion par objectifs et l’appréciation, pour autant qu’elle soit nécessaire.

Nous estimons que le personnel des administrations de l’État, de même que leurs représentants du personnel, doivent être associés étroitement à l’élaboration des objectifs des services, à la définition des besoins en personnel et matériel, à l’élaboration des programmes de travail et des organigrammes.

Nous nous sommes penchés en détail sur les carrières dite «reclassées» afin que leur revienne tout le bénéfice du reclassement ; voilà pourquoi nous continuons à réfuter les mécanismes qui les privent d’un reclassement complet.

Nous estimons qu’il n’est pas nécessaire de revenir dans la présente sur tous les détails exposés lors des débats sur la réforme du statut et des carrières à la Chambre des Députés, qui gardent toute leur actualité.

déi Lénk continuera à suivre de près l’évolution d’un secteur public et de la situation de son personnel. Un service public au service des citoyens, y compris par une rémunération correcte, la qualification, l’indépendance et la neutralité de son personnel, nous tient à cœur. Dans l’intérêt de tout citoyen, nous nous opposons à toute privatisation de services publics, qui, bien au contraire, doivent être renforcés continuellement en fonction des besoins de notre société.

Télécharger la prise de position

Question parlementaire concernant l’entretien futur des bâtiments publics du domaine de l’Etat par du personnel engagé par l’Etat-même

Monsieur le Président,

Conformément à l’article 80 du règlement de la Chambre des Députés, je vous prie de bien vouloir transmettre à Monsieur le Ministre des Travaux publics la question parlementaire suivante:

Lors de la présentation du programme gouvernemental concernant les travaux publics, Monsieur le Ministre avait annoncé que le gouvernement serait en train de réfléchir à la mise en place d’une entité responsable pour la gestion de tous les bâtiments publics du domaine de l’Etat.

Dans ce contexte, j’aimerais savoir de Monsieur le Ministre des Travaux publics s’il serait possible de charger cette entité également de l’organisation de l’entretien des bâtiments publics par du personnel engagé par l’Etat et rémunéré selon la convention collective des ouvriers de l’Etat, ceci à l’instar de la Ville de Luxembourg ? En effet, cette dernière a créé son propre service d’entretien et a chargé des hommes/femmes de charges engagé-e-s par la Ville même et rémunérés selon la convention collective de la Ville pour l’entretien courant de ses bâtiments, à l’exception de travaux spécialisés, pour lesquels un recours à des sociétés privées spécialisées s’avère indispensable.

Respectueusement,

Justin Turpel

Député

-> Réponse

DEINE FRAGE: Är Positiounen fir de Sozial- an Erzéiungsberaich?

FRAGE:

Vor- und Nachnamen der Fragesteller werden anonymisiert.

E puer dausend Leit aus dem Sozial- an Erzéiungsberaich maan sech enorm vill Gedanken z.B. waat di non-formal Bildung ugeet. Wéi ass Är Positioun zu den Verbesserungsvirschléi vun den Beruffsverbänn? An wéi stid Dir zur Emsetzung vun der Réforme fir d’Fonction publique. Am Projet de loi sin fir d’éischt an der Geschicht Gehälter fir den Educateur an Sozialpädagog (bac+3) richteg aclasséiert.

ANTWORT

Bonjour Madame V.,
Merci fir är Froën !

D’Positioun vun déi Lénk zu der non-formaler Bildung an de Verbesserungsvirschléi vun de Beruffsverbänn kënnt der noliesen an eiser Äntwert op d’Froen vun der APEG. Déi Äntewert fannt der am Attachment.

Wat d’Reform vun der Fonctioun publique ugeet, si mer eis bewosst, dass doran endlech eng Verbesserung fir d’Educateuren an d’Sozialpädagogen virgesinn ass. An deen Sënn hu mer op de CGFP-Fro zum Thema “Reform vun der Fonction publique” geäntwert:

“Alle positiven Verbesserungen, die vereinbart wurden (Revalorisierung verschiedener Laufbahnen, Harmonisierung der Aufstiegsmöglichkeiten, …), sollen so schnell wie möglich im Parlament zur Abstimmung gebracht werden. Verschiedenen Verschlechterungen – wie die Kürzung der Anfangsgehälter, die Kürzung der Entschädigung während der „Stage“-Zeit, die undifferenzierte Verlängerung der „Stage“-Zeit auf 3 Jahre, das geplante Bewertungssystem, die Übergangsbestimmungen bei Revalorisierung verschiedener Laufbahnen … – werden déi Lénk nicht zustimmen.

déi Lénk wehren sich jegliche Verschlechterung der Anfangsgehälter , sowohl in Bezug auf die die Referenzgehaltstufe, wie auch in Bezug auf die Anerkennung der Vordienstzeit („bonification d’ancienneté“), wo die Stage-Jahre und „nicht gearbeitete“ Jahre nicht mehr anerkannt werden.

An deem selwechte Sënn hu mer zum Thema “Gehälterofkommes” geschriwwen:

“Die von Regierungsseite vorgeschobenen Argumente zur Verschiebung des Abkommens von Juli 2011 auf Juli 2014 waren schon mehr als fragwürdig. Dieses Abkommen muss jetzt ohne Wenn und Aber umgesetzt werden. déi Lénk sind der Meinung, dass das Besoldungsabkommen auf jeden Fall in Kraft treten muss, auch dann, wenn Teile des Reformvorhabens nicht umgesetzt würden.

Mat beschte Gréiss,

CGFP – Besoldungsabkommen

Wahlprüfsteine der CGFP– Antworten déi Lénk

2. Besoldungsabkommen

Auf Grund wechselnder wirtschaftlicher und finanzieller Voraussetzungen gab die CGFP ihre Zustimmung, das im Juli 2011 eingegangene Besoldungsabkommen zeitlich zu verschieben: Die Auszahlung einer Einmalprämie von 0,9 Prozent des Jahresgehalts erfolgt somit erst im Juli 2014, eine Anhebung des Punktwertes um 2,2 Prozent wurde gar auf 2015 verlegt.
a) Gibt Ihre Partei heute die feste Zusage, dass das Abkommen in dieser Form und nach diesem Zeitplan umgesetzt wird?

Die von Regierungsseite vorgeschobenen Argumente zur Verschiebung des Abkommens von Juli 2011 auf Juli 2014 waren schon mehr als fragwürdig. Dieses Abkommen muss jetzt ohne Wenn und Aber umgesetzt werden.

b) Teilt Ihre Partei die Meinung der CGFP, dass es sich beim geplanten Reformvorhaben im öffentlichen Dienst und bei dem im Juli 2011 ausgehandelten Besoldungsabkommen um ein gebündeltes Maßnahmenpaket handelt, das so nur in seiner Gesamtheit umgesetzt werden kann?

déi Lénk sind der Meinung, dass das Besoldungsabkommen auf jeden Fall in Kraft treten muss, auch dann, wenn Teile des Reformvorhabens nicht umgesetzt würden.

CGFP – Reformvorhaben im öffentlichen Dienst

Wahlprüfsteine der CGFP– Antworten déi Lénk

1. Reformvorhaben im öffentlichen Dienst

Wesentliche Teile der Reform des Beamtendienstrechts sollten bereits zum 1. Januar 2014 in Kraft treten. Nach schwierigen und jahrelangen Verhandlungen hatte die CGFP mit ihrem Dienstherrn einen für beide Seiten annehmbaren Kompromiss ausgearbeitet, der zumindest in weiten Teilen denen im Parlament seit längerem hinterlegten Gesetzentwürfen entspricht.
a) Ist Ihre Partei entschlossen, diesen Kompromiss nach den Wahlen umgehend im Parlament zur Abstimmung zu bringen, ohne vorher wesentliche und bereits ausgehandelte Teile der Reform erneut in Frage zu stellen?

Alle positiven Verbesserungen, die vereinbart wurden (Revalorisierung verschiedener Laufbahnen, Harmonisierung der Aufstiegsmöglichkeiten, …), sollen so schnell wie möglich im Parlament zur Abstimmung gebracht werden. Wir werden sie selbstverständlich unterstützen. Verschiedenen Verschlechterungen – wie der Kürzung der Anfangsgehälter und Entschädigung während der „Stage“-Zeit, der undifferenzierten Verlängerung der „Stage“-Zeit auf 3 Jahre, dem geplanten Bewertungssystem, den Übergangsbestimmungen bei der Revalorisierung verschiedener Laufbahnen … – werden déi Lénk nicht zustimmen.

b) Es bleibt für die CGFP weiterhin unannehmbar, dass die Entschädigungen für angehende Beamte während der dreijährigen “Stage”-Zeit auf einmal nicht mehr aufgrund des eigentlichen Einstiegsgehaltes (Gehaltsstufe 4), sondern auf der Grundlage einer niedrigeren Ausgangssituation (Stufe 3) berechnet werden sollen. Teilt Ihre Partei die Meinung der CGFP, dass dieser Knackpunkt zu Gunsten der zahlreichen Anwärter zum Staatsdienst umgehend zu beseitigen ist, damit das Reformvorhaben im Interesse beider Verhandlungspartner schnellstmöglich und so wie abgemacht umgesetzt werden kann?

déi Lénk wehren sich gegen jegliche Verschlechterung der Anfangsgehälter, sowohl in Bezug auf die die Referenzgehaltstufe, wie auch in Bezug auf die Anerkennung der Vordienstzeit („bonification d’ancienneté“), wo die Stage-Jahre und „nicht gearbeitete“ Jahre nicht mehr anerkannt werden.

Der Sozialabbau im öffentlichen Dienst geht weiter!

Dei Lénk stellen fest, dass das Resultat der Verhandlungen über Gehälter und Gehälterreform zwischen der Regierung und der CGFP einen weiteren Schritt in Richtung Sozialabbau seitens der CSV-LSAP Regierung darstellt. Der europäische und internationale Druck auf die Arbeitsverhältnisse von Staatsbeamten hat sich nun auch in Luxemburg durchgesetzt.

Die Geschädigten sind, vorerst, vor allem die Jugendlichen die neu in den staatlichen Arbeitsdienst einsteigen sollen. Nicht nur dass ihre Probezeit von zwei auf drei Jahre verlängert wurde und sie somit ein Jahr mehr in Ungewissheit leben, was ihre feste Einstellung angeht, nein, das Praktikantengehalt wird durch eine “indemnité de stage“ ersetzt, die auf 80 beziehungsweise 90% des Einstiegslohns gekürzt wird. Dies wird auch, im negativen Sinn, ein Signal für den Privatsektor sein, um zukünftige gewerkschaftliche Forderungen abzulehnen.

Auch die neuen Bewertungskriterien reduzieren sich fast ausschließlich auf die Praktikanten. Dass die Krisensteuer abgeschafft wurde, hat nichts mit diesen Verhandlungen zu tun, sondern entstand auf Druck und Kritik der Gewerkschaften und der linken politischen Kräften.

Schlussendlich würden déi Lénk es begrüßen, wenn in Zukunft alle Gewerkschaften, die im staatlichen, parastaatlichen und assimilierten Sektor tätig sind, mit an den Verhandlungen beteiligt werden würden.

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