« Solidaritéitspak » : D’Regierung bezilt d’Betriber fir ze verschmotzen.

Et ass vill iwwert d’Moossnamen aus dem sougenannte « Solidaritéitspak » geschwat ginn, mee déi staatlech Hëllefe fir de Präis vun den Emissiounszertifikater am Kader vum europäeschen Emissiounshandel ze kompenséiere goufe wéineg kommentéiert. Dës Hëllef ass awer symptomatesch fir déi politesch Linn vun enger Regierung, déi d’Verschmotzungsrechter vun den Entreprisë mat de Sue vun de Salariéen an Rentner.inne bezilt. Dat ass ee sozialen an ekologesche Skandal.

D’Staatshëllefen, déi d’Betriber kréie fir en Deel vun hire Verschmotzungsrechter ze bezuelen, wäert de Staat 500 Milliounen Euro bis 2030 kaschten. Dës Hëllefe ginn natierlech iwwert de Staatsbudget finanzéiert, deen zu zwee Drëttel duerch d’Lounsteier an d’TVA gespeist gëtt. Et sinn also déi Lounofhängeg an d’Rentner.innen, déi dës Moossnam bezuelen, déi ëmweltpolitesch gesinn een absolutten Nonsens ass.

D’Zil vum europäeschen Emissiounshandel ass et nämlech d’Betriber unzereegen an eng méi gréng Produktioun z’investéiere well d’Zertifikater ze deier ginn. Haut läit de Präis vun engem Zertifikat bei ongeféier 80 Euro. Mee amplaz d’Betriber elo an eng méi ëmweltfrëndlech Produktioun investéieren ze loossen, huet d’Regierung decidéiert en Deel vum Zertifikatspräis ze bezuelen. Andeems se dat mécht, gräift se d’Fundament vum Emissiounshandel hunn, dee liberal a gréng Politiker.innen zum Wonnermëttel géint d’Klimakatastroph héichstiliséiert haten.

Déi grouss Betriber, déi vum Emissiounshandel betraff sinn, hunn d’Gelder fir an hir Produktiounssitten z’investéieren, mee et geet drëms den Aktionäre weider fett Gewënner an Dividenden auszebezuelen. déi Lénk si skandaliséiert iwwert dës Moossnam, déi duerchgesat gëtt wärend Salariéen, Rentner.innen, Stagiairen, Leit déi eng Léier maachen un der rezenter Indexmanipulatioun leiden. Dës Moossnam, wéi déi aner och, weist ganz kloer dass de « Solidaritéitspak » op eng Solidaritéit grënnt, déi just an eng Richtung geet : Vun de Lounofhängegen a Rentner.inne bei d’Betriber. D’Betriber sinn dann och ganz ouni Zweiwel déi grouss Gewënner vun dëser liberaler Opfaassung vun der Solidaritéit.

Matgedeelt vun déi Lénk.

Hei fannt Dir eng méi detailléiert Analys vum Emissiounshandel.


« Paquet de solidarité » : Le gouvernement paie les entreprises pour polluer.

Parmi les mesures du soi-disant « paquet de solidarité », les aides étatiques pour compenser la hausse du prix des certificats d’émission de gaz à effet de serre dans le cadre du système européen d’échange de quotas d’émission ont été peu commentées. Elles sont pourtant symptomatiques de la ligne politique d’un gouvernement qui paie les droits de pollution des entreprises avec l’argent des salarié.e.s et retraité.e.s. Un scandale social et écologique.

Les aides que l’État attribuent aux entreprises pour compenser la hausse du prix des droits de pollution pourraient s’élever à 500 millions d’euros jusqu’en 2030. Elles sont évidemment financées par le budget de l’État dont deux tiers des recettes proviennent de l’impôt sur les salaires et la TVA. Ce sont donc toutes les personnes travaillant pour un salaire et les retraité.e.s qui paient cette mesure qui est un non-sens absolu du point de vue écologique.

En effet, le but du système d’échange de quotas d’émission est d’inciter les entreprises à investir dans des processus plus écologiques par une hausse continuelle des prix des certificats d’émission. Aujourd’hui, le prix d’un certificat s’élève à environ 80 euros. Mais au lieu de laisser les entreprises investir dans une production plus verte, le gouvernement a décidé de compenser une partie du prix du certificat, sapant ainsi les fondations mêmes du système d’échange qu’écologistes et libéraux avaient érigé en solution miracle contre le réchauffement climatique.

Les grandes entreprises concernées par le système d’échange disposent des fonds nécessaires pour investir dans leurs sites de productions, mais il s’agit avant tout de ne pas priver les actionnaires de leurs profits et dividendes. déi Lénk est scandalisé par cette mesure qui intervient alors que salarié.e.s, retraité.e.s, indépendant.e.s, stagiaires et apprenti.e.s pâtissent des conséquences d’une manipulation de l’index. Cette mesure, comme les autres, montrent que le « paquet de solidarité » est fondé sur une solidarité à sens unique qui va des salarié.e.s et retraité.e.s aux entreprises. Ces dernières sont, sans l’ombre d’un doute, les grandes gagnantes de cette conception libérale de la solidarité.

Communiqué par déi Lénk.

Ici vous trouvez une analyse détaillée sur le l’échange de quotas d’émissions.

Entrevue OGBL – déi Lénk: Pas de concessions sur l’index.

Une délégation de l’OGBL, emmenée par sa présidente Nora Back, a rencontré les députées et porte-parole de déi Lénk le vendredi 6 mai 2022. L’échange a porté en premier lieu sur la volonté du gouvernement de manipuler massivement l’index et le soi-disant « paquet de solidarité » censé cacher cette attaque contre le pouvoir d’achat des retraité.e.s et salarié.e.s.

Ni pour l’OGBL, ni pour déi Lénk, cette manipulation de l’indexation des salaires et des pensions n’est admissible. L’index constitue en effet le seul véritable outil permettant d’adapter les salaires et retraites au coût réel de la vie. Cette manipulation intervient en outre précisément à un moment où l’inflation est à l’un de ces plus hauts niveaux depuis des décennies. L’explosion des prix — les prix de l’énergie en particulier, mais également les prix des produits alimentaires — conduit à des situations où de plus en plus de salarié.e.s et de retraité.e.s rencontrent des difficultés à joindre les deux bouts.

Cette manipulation est également un nouveau coup porté aux plus jeunes qui ont déjà souffert le plus des répercussions de la pandémie de Covid. En effet, les indemnités d’apprentissage et les rémunérations minimales de stage pour les élèves et étudiants sont indexées et perdent par conséquent en valeur. Parallèlement, les apprentis et stagiaires ne toucheront pas de compensation.

Or, la désinformation sur l’index s’est intensifiée ces derniers mois. L’index n’a jamais été un levier de la politique sociale. Il s’agit donc aussi de lutter contre cette désinformation. Pour cette raison, la création d’alliance plus vaste avec la société civile sera indispensable.

A l’avenir, l’OGBL et déi Lénk ont décidé de renforcer leur coopération dans la lutte pour la défense des acquis sociaux des salarié.e.s et retraité.e.s.

Question sur la lutte contre le chômage de longue durée.

Monsieur le Président,

Un nouveau dispositif visant la lutte contre le chômage de longue durée introduit par la loi du 20 juillet 2017 a mis en place une aide à la création d’un emploi d’insertion pour chômeurs de longue durée (EMI). Ce régime s’adresse à des employeurs publics, aux SIS, aux fondations et fédérations ainsi qu’aux associations sans but lucratif et vise la création d’emplois à durée indéterminée pour des personnes inscrites à l’ADEM et sans emploi depuis au moins 12 mois et âgées de 30 ans au moins.

L’aide prémentionnée consiste en un remboursement maximal par l’État des frais salariaux plafonné à 150 % du salaire social minimum pour salariés non-qualifiés, charges patronales comprises. Le remboursement des frais salariaux par l’État varie en fonction de l’âge de la personne embauchée et diminue d’une année à l’autre pour cesser après la troisième année. Pour les personnes âgées de plus de 50 ans l’aide correspond au remboursement de 100 % des frais salariaux jusqu’au jour de l’attribution d’une pension de vieillesse.

Ce dispositif qui a permis de créer des emplois à durée indéterminée pour des demandeurs d’emplois précaires, repose pourtant sur la capacité inégale des employeurs concernés à prendre en charge une partie des coûts salariaux. Tandis que les acteurs publics ont pour la plupart la capacité de prendre en charge une partie de ces coûts salariaux, des associations sans but lucratif ou des syndicats d’initiative ne disposent pas forcément des recettes ou des capitaux propres nécessaires pour prendre en charge une partie croissante des coûts salariaux voire la totalité des coûts après trois ans. Cette différence en matière de capacités financières peut contribuer à un traitement inégal des personnes embauchées que ce soit au niveau de la rémunération ou au niveau de la pérennité de l’emploi créé après 3 ans (à l’exception des personnes âgées de plus de 50 ans).

Partant je voudrais poser les questions suivantes à Monsieur le ministre du Travail :

  1. Combien d’emplois ont été créés dans le cadre du dispositif prémentionné depuis l’entrée en vigueur de ce dernier ? Monsieur le Ministre peut-il me fournir une ventilation des chiffres en fonction de l’année et du type d’employeurs ?
  2. Quel est le montant moyen des coûts salariaux subventionnés par emploi créé dans le cadre du dispositif pour la première année pour les différents types d’employeurs concernés ? Comment ce montant évolue-t-il depuis la création du dispositif ?
  3. Quelle est la part moyenne des coûts salariaux subventionnés par emploi créé dans le cadre du dispositif pour la première année pour les différents types d’employeurs concernés ? Comment ce pourcentage évolue-t-il depuis la création du dispositif ?
  4. Quelle est la part, par type d’employeur, des emplois créés depuis l’entrée en vigueur du dispositif prémentionné qui ont été maintenus au-delà de la troisième année après la cessation de la subvention des coûts salariaux ?
  5. Monsieur le Ministre envisage-t-il des adaptations au dispositif en question afin d’encourager la continuité des postes créés ?

Veuillez croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes sentiments respectueux.

Myriam Cecchetti

Députée

Question parlementaire concernant l’étude annoncée sur le temps de travail.

Monsieur le Président,

En date du 28 avril 2022 Monsieur le Ministre a annoncé à la tribune de la Chambre des Députés la commande d’une étude sur la réduction du temps de travail.

Monsieur le Ministre n’a pourtant pas donné plus d’indications sur la finalité et la portée de l’étude.

Partant je voudrais poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre :

  1. Quel organisme sera chargé de l’élaboration de ladite étude ?
  2. Quelle échéance Monsieur le Ministre envisage-t-il pour la finalisation voire la publication de l’étude ?
  3. Quelle sera la portée de l’étude ? Se limitera-t-elle aux aspects économiques du temps de travail ou l’accent sera-t-il également mis sur d’autres aspects notamment les effets d’une réduction du temps de travail sur la santé et le bien-être des travailleurs ou sur la protection du climat ?
  4. Quel est l’objectif visé par cette étude ? Monsieur le Ministre envisage-t-il de légiférer en vertu d’une réduction du temps de travail ?

Veuillez croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes sentiments respectueux.

Myriam Cecchetti

Députée

Aarbechtsrecht : déi Lénk deposéieren eng Gesetzespropos géint d’Uberisatioun.

Duerch déi séier Digitalisatioun verbreet sech déi sougenannte Plattformsaarbecht ëmmer méi. Och zu Lëtzebuerg. Wann d’Rise vun dëser onreguléierter Wirtschaft (wéi Uber oder Deliveroo) zwar nach net hei Fouss gefaasst hunn, sou si Plattforme wéi Wedely oder Goosty scho gutt vertrueden. A se respektéieren d’Aarbechtsrecht net oder se benotzen déi klengsten Nisch am Gesetz fir eng prekär well ofhängeg Aarbechtskraaft auszenotzen. Fir déi Lénk besteet keen Zweiwel : et muss séier ee Gesetz komme fir dës Arbechter.innen ze schützen

Aus deem Grond hunn déi lénk haut, de Mëttwoch 4. Mee 2022, eng Gesetzespropos géint d’Uberisatioun deposéiert, déi vun der Chambre des salariés ausgeschafft gouf. Och wann d’europäesch Unioun eng Direktiv versprach huet fir géint dëst Phenomen unzegoen, sinn déi Lénk der Meenung dass et héich Zäit gëtt eppes z’ënnerhuele fir dësen Aarbechter.innen de Statut vum Salarié an de legale Schutz deen domat zesummenhänkt endlech ze ginn.

A Spuenien ginn haut scho Leit, déi Aarbechte fir Plattforme maachen als Salariéen ugesinn. Et ass also méiglech. d’Gesetzespropos, déi déi Lénk haut deposéiert hunn, huet als Zil honnerte vun Aarbechter.innen, déi schwéier schaffen an ënnert onwierdege Konditioune leiden, ze schützen, an eng Wirtschaft, déi am Moment boomt, ze reguléieren. Et muss onbedéngt verhënnert ginn, dass d’Verléierer vun der Digitalisatioun zu de Lakaie vun deenen anere Leit a vu skrupellose Patrone ginn.

Matgedeelt vun der lénker Fraktioun.

Hei geet et bei d’Gesetzespropos.


Droit du travail : déi Lénk dépose une proposition de loi anti-uberisation.

Avec la digitalisation galopante, le travail sur plateforme gagne de plus en plus de terrain. Aussi au Luxembourg. Si les mastodontes de cette économie peu régulée (comme Uber ou Deliveroo) n’y ont pas encore pris pied, d’autres plateformes comme Wedely ou Goosty sont en revanche bien établies. Et elles ne respectent pas le droit du travail ou profitent des moindres niches pour s’y engouffrer et ainsi exploiter une force de travail précaire car dépendante. Pour déi Lénk, il ne fait pas de doute : il est grand temps de légiférer pour protéger ces travailleu.ses.rs.

Pour cette raison, déi Lénk a déposé aujourd’hui, mercredi 4 mai 2022, une proposition de loi anti-uberisation rédigée par la Chambre des salariés. Bien que l’Union européenne ait promis une directive pour contrer ce phénomène, déi Lénk est d’avis qu’il est temps d’agir rapidement afin que ces travilleu.ses.rs bénéficient au plus vite du statut de salarié.e et de la protection légale qui en découle.

Emboîtons le pas à l’Espagne qui accorde déjà le statut de salarié.e à celles et ceux qui effectuent un travail sur plateforme. La proposition de loi que déi Lénk a déposée a comme objectif de protéger des centaines de travailleu.ses.rs trimant actuellement sous des conditions indignes et de réguler une économie en plein essor. Il faut à tout prix éviter que les perdants de la digitalisation ne deviennent un « larbinat » sans droits ni protection au service de classes plus aisées et de patrons sans scrupules.

Communiqué par la sensibilité politique déi Lénk.

Voici le lien vers la proposition de loi.

Question parlementaire relative aux expulsions en matière de bail à usage d’habitation.

Monsieur le Président,

Après deux suspensions justifiées par les effets de la pandémie de la Covid19 en 2020 et 2021, l’exécution des déguerpissements ordonnés en matière de bail à usage d’habitation a repris depuis le 1er avril 2021.

Dans la réponse à ma question parlementaire n°4396 du 2 juin 2021, Madame et Monsieur les Ministres ont fourni les détails sur le nombre des procédures entamées et des condamnations à déguerpir prononcées suite à la reprise des déguerpissements en 2021 ainsi qu’un comparatif permettant d’apprécier l’évolution des chiffres depuis l’année 2011.

Alors que la hausse de plus en plus prononcée des prix immobiliers et des loyers constitue une charge financière souvent insupportable pour beaucoup de ménages, l’explosion de prix de l’énergie notamment pour le chauffage est devenue un fardeau supplémentaire pour un grand nombre de ménages.

Les ménages-locataires sont les premières victimes de cette évolution et il est dans ce contexte que je voudrais demander à Monsieur le Ministre du Logement et Madame la Ministre de la Justice une mise à jour des chiffres concernant les déguerpissements ordonnés en matière de bail à usage d’habitation :

  1. Combien de procédures pour obtenir une autorisation d’expulsion en matière de bail à usage d’habitation sont actuellement en cours devant les Justices de Paix ?
  2. Combien de procédures d’autorisation d’expulsion ont été traitées par les Justices de Paix depuis juillet 2021 ?
  3. Combien de condamnations à déguerpir ont été prononcées par les Justices de Paix depuis juillet 2021 ?
  4. Dans combien de cas depuis juillet 2021 le Juge de Paix a-t-il accordée un sursis à l’exécution de la décision de déguerpissement ?

Vu la pénurie des matériaux de construction qui perdure depuis plusieurs mois déjà à la suite des effets économiques de pandémie de la Covid19, de nombreux chantiers de construction de logements ont pris un retard important. Ces retards accentuent la pénurie de logements et peuvent placer des ménages-locataires à la recherche d’un nouveau logement dans des situations difficiles. Plus encore, les locataires ayant résilié leur bail à loyer dans l’attente de pouvoir déménager dans un logement nouvellement construit (soit en tant que propriétaire ou locataire) peuvent se retrouver sans logement au cas où ils sont forcés de quitter leur habitation.

Dans ce contexte, je voudrais poser les questions suivantes à Madame et Monsieur les Ministres :

  • Madame et Monsieur les Ministres sont-ils conscients du problème prémentionné ?
  • Dans l’affirmative, disposent-ils de chiffres ou d’informations permettant de connaitre l’envergure de cette problématique ?

Veuillez croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes sentiments respectueux.

Nathalie Oberweis

Députée

Consultez la réponse du gouvernement ici.

Tripartite : Bettel, Lenert a Bausch verroden d’Salariéen !

No der Verëffentlechung vum Tripartitesaccord, dee mat ënnerschriwwe gouf vum LCGB a vun der CGFP, huet sech séier erausgestallt, dass d’Regierung, mat Hëllef vun der LSAP, de Leit eng virgegaukelt huet. Eng einfach Rechnung weist nämlech, dass vill Stéit wäerte Sue verléieren

Sécherlech kréien d’Leit, déi de Mindestloun (2.313,37 Euro) oder de qualifizéierte Mindestloun (2776,06 Euro) verdéngen e puer Su bäi. Mee déi Montanten (+26,17 Euro respektiv +14,6 Euro de Mount )si lächerlech am Verglach zur Präisexplosioun vun der Energie.  Wie sinn dann elo d’Verléierer ? Mat enger Pai vun 3.667 Euro de Mount, verléiert ee 7,67 Euro all Mount. Verdéngt ee 5.667 Euro de Mount, verléiert ee scho 65,67 Euro. Huet een e Salaire vun 8.333 Euro, da verléiert ee souguer 208,33 Euro de Mount.

D’Patrone mussen also elo net méi de Index ausbezuelen, obwuel en hei am Land zur Gehälterstruktur gehéiert. De Staatsbudget soll awer net d’Charge salariale vun de Patronen iwwerhuelen. Ëmsou méi well am éischten Deel vum Accord dee gëschter ënnerschriwwe gouf, eng Ganz Rei net chiffréiert Mesure fir d’Patronen dra stinn. Eleng fir d’Staatsgarantien si 500 Milliounen Euro virgesinn. Mee déi Mesure ass mol net an der Chamber debattéiert ginn, well d’Regierung séier huet missen hire « Succès » géint Salariat feiere goe wärend enger Pressekonferenz mat den zwou Gewerkschaften, déi och ënnerschriwwen hunn.

An der Chamber ass gëschter Owend och nach eng « Commission spéciale tripartite » gegrënnt gi fir déi Mesure ëmzesetzen. D’Kandidatin déi fir déi Lénk sollt an där Kommissioun setzen, d’Myriam Cecchetti, gouf net vun der Majoritéit eragewielt.

Matgedeelt vun déi Lénk.


Tripartite : Bettel, Lenert et Bausch trahissent les salariés !

Après la publication de l’accord tripartite, co-signé par le LCGB et la CGFP, il s’est vite avéré que le Gouvernement, avec la complicité du LSAP, a induit en erreur l’opinion publique.

Un simple calcul révèle qu’il y aura beaucoup de ménages lésés par la manipulation de l’index.

Si les bénéficiaires du salaire minimum (2.313,37 euros) et du salaire minimum qualifié (2776,06 euros) gagnent en effet quelques euros, le montant de ces gains (+26,17 voire 14,6 euros par mois) est ridicule par rapport à l’augmentation des prix de l’énergie ! Mais qui sont les perdants de la manipulation ? Avec un revenu mensuel de 3.667, l’on perd déjà 7,67 euro par mois. Avec un revenu de 5.667 euros par mois l’on subit une perte nette importante de 65,67 euros par mois. Avec un revenu mensuel de 8.333 euros, la perte s’élève même à 208,33 euros par mois.

Les patrons sont désormais dispensés du payement de l’indexation qui fait pourtant partie de la structure des salaires. Or, le budget de l’État n’est pas censé supporter la charge salariale des patrons, d’autant plus que la première partie de l’accord comporte d’innombrables mesures non chiffrées en faveur du patronat. Rien que pour le régime d’aides sous forme de garantie, une enveloppe globale de 500 millions est prévue. Cette mesure n’a pas été débattue à la Chambre des Députés que le Gouvernement a quittée précipitamment pour savourer son « succès » aux détriments du salariat en conférence de presse avec les deux syndicats signataires.

A la Chambre des Députés a été constituée en fin de soirée une « commission spéciale tripartite » pour accompagner la législation à venir. La représentante désignée par déi Lénk, Myriam Cecchetti, a été écartée par les voix de la coalition.

Communiqué par déi Lénk.

Tripartite : D’Regierung an d’Patronat bedreiwe sozialen Ofbau.

Fir déi Lénk war een Tripartitesaccord mat enger Indexmanipulatioun ni eng Optioun. Mir begréissen also, dass den OGBL de sozialen Ofbau, deen d’Regierung an d’Patronat gefuerdert hunn, net matdréit. Eng Indexmanipulatioun bedeit ganz einfach ee Kafkraaftverloscht, deen net méi kann opgefaange ginn. Och eng eemoleg Kompensatioun iwwer de Budget ass do nëmmen ee schwaachen Trouscht.

Nieft de Paien, verléieren déi immens wichteg “Prestations familiales” och u wäert. D’Regierung huet dann och elo mat där Indexmanipulatioun déi nodréiglech Reindexatioun vun de Prestatiounen aus dem Oktober 2021 mat annuléiert.

Et sief un dëser Stell nach ee Mol drun erënnert, dass d’Entreprise wärend der Pandemie massiv ënnert d’Äerm gegraff kruten. Sief et duerch een ugepasste Chômage partiel, duerch spendabel Direkthëllefen oder nach Staatsgarantien. Dat schéngt d’Patronat awer vergiess ze hunn, a mengt, ganz ouni Schimmt, dass elo d’Salariéen an déi Vulnerabelst fir dës systemesch Kris musse bezuelen. Well d’Präishausse kënnt duerch d’Spekulatioun an déi aggressiv Präispolitik vun den Ueleg- a Gaskonzerner.

Mir sinn also erëm beim neoliberale Business as usual ukomm. De grousse solidareschen Elan vun der Pandemie ass definitiv fort. Déi Kleng bezuelen erëm fir déi Grouss. Dobäi sinn et d’Stéit mat klenge Revenuen, déi un der aktueller Explosioun vun den Energiepräisser am meeschte leiden. Eng Indexmodulatioun, wéi d’Regierung an d’Patronat se elo wëllen, ass also ganz einfach inakzeptabel.

déi Lénk fuerderen nach ëmmer en Energiegeld, dat a Form vun engem besteierbare Complément de revenu soll un all Stot ausbezuelt ginn. Dat bleift eng séier an onkomplizéiert Aart a Weis fir deene Stéit, déi et am meeschte brauchen, ze hëllefen. Mir sinn doriwwer eraus och der Meenung, dass nëmmen eng richteg Steierreform Gerechtegkeet bei de Léin schaafe kann.

déi Lénk si bestierzt iwwer d’Positioun vun de „roude“ Regierungsmemberen, wéi der Paulette Lenert, déi dëse sozialen Ofbau ouni mat der Wimper ze zucke matdroen. Dat seet villes iwwer dës Koalitioun aus, an där d’DP an déi Gréng a soziale Froe kloer d’Soen hunn. An dofir bléist deene Schwächsten elo esou ee kale Wand an d’Gesicht.

Matgedeelt vun déi Lénk.


Réunion tripartite : Le démantèlement social par le gouvernement et le patronat.

Pour déi lénk, un accord entérinant une manipulation de l’index a toujours été impensable. Nous saluons la décision de l’OGBL de s’opposer au démantèlement social revendiqué par le gouvernement et le patronat. Une manipulation de l’index correspond simplement à une perte de pouvoir d’achat irrécupérable. Une compensation unique n’est qu’une faible consolation.

A côté des salaires, les prestations familiales, cruciales pour de nombreux ménages, perdront également en valeur. Avec cette manipulation de l’index, le gouvernement a aussi réussi l’exploit d’annuler la réindexation des prestations familiales d’octobre 2021.

Rappelons que les entreprises ont bénéficié d’un soutien sans précédent lors de la pandémie. Qu’il s’agisse d’un chômage partiel adapté, d’aides directes généreuses ou encore de garanties étatiques. Mais il semble que le patronat a la mémoire qui flanche, car il demande sans vergogne que les salarié.e.s et les plus vulnérables paient pour cette crise systémique. Car l’explosions des prix de l’énergie est le fruit de la spéculation et de la politique de tarifs agressive des entreprises de gaz et de pétrole.

Le business as usual néolibéral reprend donc le dessus. Le grand élan de solidarité de la pandémie est définitivement enterré. Les petits paient é nouveau pour les grands. Alors que ce sont les ménages aux revenus modestes qui souffrent le plus de l’explosion des prix de l’énergie. Une manipulation de l’index telle que le patronat et le gouvernement la revenidque est donc tout simplement inacceptable.

déi Lénk revendique toujours un chèque énergie sous la forme d’un complément de revenu imposables versé à tous les ménages. Cette aide soulagerait rapidement et sans complications administratives les ménages qui en ont le plus besoin. déi Lénk estime également que le seul moyen pour rétablir la justice au niveau des salaires est une réforme fiscale en profondeur.

déi Lénk est consterné par l’attitude des ministres du LSAP, comme Paulette Lenert, qui portent ce projet de démantèlement social sans broncher. Cela en dit long sur cette coalition au sein de laquelle le DP et déi Gréng dominent les questions sociales. Et c’est pour cette raison que les plus vulnérables sont confrontés à une forte pression sociale.

Communiqué par déi Lénk.

Energetesch Sanéierung: Nohalteg wunnen dierf kee Luxus sinn.

Elo wou de Bam brennt wéinst den héijen Energiepräisser, fänkt d’Regierung un ze wibbelen. Mee wéi esou oft kënnt net vill dobäi eraus. Fir d’energetesch Sanéierung ze fërderen, hält d’Regierung weider un hirem ongerechte Primmesystem fest, deen déi bevirdeelegt, déi schonn am meeschten hunn. Esou ass d’Recht op Energieeffikassitéit einfach net ginn.

Dat eenzegt wat de Logementsminister ds Woch an der Kommissioun présentéiert huet, ass eng Reform vum « Prêt climatique », déi fir keen eppes verbessert a fir Stéit mat klengem Revenu d’Situatioun och nach riskéiert ze verschlechteren. De « prêt à taux zéro », dee fir Stéit geduecht war, déi Recht op Wunnengshëllef hunn, gëtt einfach ofgeschaaft. Elo gëtt et also just nach ee Prêt fir all Stot. Hei sinn d’Zënsen, déi vum Staat iwwerholl ginn, awer op 10.000 Euro gedeckelt. Wann d’Zënssätz also klammen, sinn d’Stéit mat klenge Revenuen déi éischt Affer.

Dobäi kënnt dass och elo Multiproprietären e Recht op dëse Prêt kréien. Si kënnen da mat Staatshëllef Renovatioune finanzéieren, déi dono vun hire Locatairen iwwer de Loyer integral zeréckbezuelt ginn. Esou finanzéiert also de Staat an déi déi am mannsten hunn, de grousse Proprietären hir Renovatiounsaarbechten. Sozial gerecht ass eppes anescht!

Wann de Staat wierklech wëll eng sozial gerecht an ekologesch sënnvoll Sanéierungspolitik bedreiwen, muss e vun dësem ongerechte Schema wechkommen. déi Lénk fuerderen, dass de Staat een ëffentleche Finanzéierungssystem fir d’energetesch Sanéierung aféiert, deen et och de Stéit mat wéineg Revenu erlaabt hir Wunnengen ze renovéieren an esou aus der Energiefal erauszekommen.

Ëffentlech finanzéiert Renovatioune sou wéi déi Lénk se virschloen, géifen elo an onséchere finanziellen Zäite fir d’Stéit nach däitlech méi Sënn erginn. Bei zukünfteg klammenden Zënssätz an dem Abroch vu Revenuen duerch d’Präisdeierecht op der Energie géif e prêt climatique aus engem ëffentleche Finanzéierungspool fir d’Stéit méi vertrauenswierdeg wierken, besonnesch och well e vu willkürlechen Zënsschwankunge befreit wier, dee Stéit mat klengem disponibelen Akommes vun Investitiounen ofschreckt.

Fir déi Lénk ass kloer, dass d’Energiesécherheet an éischter Linn duerch Aspuerunge vun Energie ze garantéieren ass. Dofir muss massiv a séier an Energieeffikassitéit am Logementsberäich investéiert ginn. Dobäi dierf de private Patrimoine oder d’Héicht vum Revenu awer net doriwwer entscheeden, ob e Stot kann energiespuerend Investitioune maachen, fir sou vu Schwankungen op Mazout- oder Gaspräisser verschount ze bleiwen. Energie ass e Recht. Dofir dierf en Invest an nohaltegt Wunnen och kee Luxus sinn.

Matgedeelt vun der Fraktioun déi Lénk.


Assainissement énergétique : Un logement durable ne doit pas être un luxe.

Maintenant que la situation est grave, le gouvernement commence à s’agiter. Mais comme souvent, les résultats ne sont pas à la hauteur. Afin de promouvoir l’assainissement énergétique, le gouvernement maintient son système de primes injuste qui favorise les ménages les plus aisés. Cette approche ne peut garantir le droit à l’efficacité énergétique.

La seule annonce du ministre du Logement concerne une réforme du prêt climatique qui n’améliore pas le dispositif actuel, mais qui risque même d’aggraver la situation pour des ménages avec des petits revenus. Le prêt à taux zéro, qui s’adressait aux ménages ayant droit aux aides au logement, est simplement supprimé. Il n’y a donc plus qu’une forme de prêt. Or, la subvention d’intérêts est plafonnée à 10.000 euros. Dès que le taux d’intérêt augmente, les ménages aux petits revenus seront les premières victimes.

S’y ajoute que les multipropriétaires auront aussi droit à ce prêt. Ils pourront donc financer des rénovations avec l’aide de l’État et se faire intégralement rembourser leur prêt par leurs locataires. Ainsi, l’État et les ménages les plus vulnérables financent les projets de rénovation des plus riches. Cela ne correspond pas à notre idée de la justice sociale.

Si l’État veut mettre en place une politique d’assainissement énergétique socialement juste et écologique, il devra mettre fin à son système de primes réservé aux privilégiés. déi Lénk revendique que l’État mette en place un système de financement public pour l’assainissement énergétique afin que les ménages les plus vulnérables puissent aussi rénover leur logement pour échapper au piège énergétique

Les rénovations avec un financement public, telles que proposées par déi Lénk, feraient d’autant plus de sens en raison des incertitudes qui pèsent actuellement sur nos sociétés. Avec la hausse des taux d’intérêt et l’explosion des prix de l’énergie, un prêt climatique issu d’un pôle de financement public, susciterait davantage la confiance des ménages, car il les protégerait contre l’évolution arbitraire des taux d’intérêt.

Pour déi Lénk, il est évident que la sécurité énergétique doit en première ligne être garantie par des économies d’énergie. Pour y parvenir, il faut rapidement et massivement investir dans l’efficacité énergétique des logements. Le patrimoine privé et le revenu ne doivent pas être des critères déterminants pour savoir si un ménage peut procéder à des investissements dans le but de faire des économies d’énergie et d’échapper à la volatilité des prix du gaz et du mazout. L’énergie est un droit. Pour cette raison l’investissement dans un logement plus durable, ne doit pas être un luxe.

Communiqué par la fraction déi Lénk.

Kafkraaftverloscht duerch Indexmanipulation:

D’Leit ginn am Ree stoe gelooss.

déi Lénk bedaueren, dass d’Tripartite vum 23 Mäerz op eng Indexmanipulatioun erausleeft. Dëst weist dass d’LSAP de Gewerkschaften an dëse Verhandlungen net de Réck gestäerkt huet. Den Index ass dat wichtegsten Instrument fir d’Inflatioun auszegläichen an esou d’Kafkraaft vun de Salariéen an de Pensionéierten z’erhalen. An dëser schwiereger Situatioun eng Tranche ausfalen ze loossen ass irresponsabel.

Déi Mesuren iwwert déi ee kann eppes Konkretes soen, sinn net zilféierend. D’Reduktioun vu 7,5 Cent op de Liter Bensinn, Diesel a Mazout, ass duerch eng nei Hausse vun den Uelegpräisser vun haut schonn näischt méi wäert a si finanzéiert déi aggressiv Präispolitik vun den Uelegkonzerner. Des Mesure ass net sozial gestaffelt, entlaascht kee Stot entscheedend a setzt ekologesch dat falscht Signal: wat ech méi en décken Auto fueren, wat ech méi en zolitte Rabatt op der Tankrechnung hunn.

D’Afréiere vun de Loyere kënnt och ze spéit. Vill Proprietären haten nom Covid-bedéngte Gel elo laang Zäit fir hir Loyeren unzepassen. Dofir haten déi Lénk nach wärend der Pandemie gefuerdert de Gel vun de Loyeren ze verlängeren. Mee deemools wollt d’Regierung dëser Fuerderung net nokommen, wëll se der Meenung war, dass d’Kris eriwwer wier. Wéilt d’Regierung effikass d’Locataire schützen, misst se dann och d’Zwangsräumungen aussetzen. Dat ass iwwregens och eng Fuerderung vun déi Lénk.

Iwwerdriwwen Immobiliepraïsser an d’Explosioun vun den Energiepräisser stelle vill Stéit hei am Land virun existenziell Problemer. Des dereguléiert Marchéë mat ëffentleche Suen ze subsidéieren ouni ee Plang ze hunn wéi een déi Präisser gebremst kritt ass keng Léisung fir d’Leit, et ass Gepléischters. Eng Indexmanipulatioun ass ee Schlag an d’Gesicht vun deene Leit. Si brauchen elo séier an onkomplizéiert Hëllefen. déi Lénk fuerderen nach ëmmer en Energiegeld, dat direkt un all Stot als besteierbare Complément de revenue soll ausbezuelt ginn. Fir an Zukunft ze verhënneren, dass d’Leit esou Präisschwankungen ausgesat sinn, muss de Staat och erëm d’Energieversuergung u sech rappen. Esou kéinte sozial gestaffelt Präisser agefouert ginn, e Grondbesoin fir d’Hëtzen an de Stroum gedeckelt ginn an extravagant Consommatioune kéinte méi deier gemaach ginn.

Matgedeelt vun déi Lénk.


Perte de pouvoir d’achat à cause de la manipulation de l’index:

Les gens laissés en rade.

déi Lénk regrette que la réunion tripartite ait abouti à une manipulation de l’index. Ce qui montre que LSAP a laissé les syndicats en plan. L’index est l’instrument le plus important pour contrebalancer l’inflation et ainsi maintenir un bon niveau de salaires et de retraites. Supprimer une tranche dans un contexte aussi difficile est un acte irresponsable.

Les mesures concrètes annoncées hier n’auront pas d’effets. La réduction de 7,5 centimes par litre d’essence, de diesel ou de mazout ne vaut déjà plus rien en raison de la dernière hausse du prix du pétrole. Et elle ne sert qu’à financer la politique de tarifs agressive des entreprises pétrolières. Elle ne prévoit aucun échelonnement en fonction de critères sociaux, elle ne représente pas une aide significative pour les ménages et, du point de vue écologique, elle donne un très mauvais signal : plus ma voiture consomme, plus je profite de cette réduction.

Le gel des loyers arrive trop tard. Depuis la fin du gel décidé durant la pandémie, les propriétaires ont eu assez de temps pour augmenter leurs loyers. C’est pour cette raison que déi Lénk avait revendiqué que le gel décidé durant la pandémie soit prolongé. Mais le gouvernement ne voulait pas nous suivre parce qu’il estimait que la crise était terminée. Si le gouvernement veut protéger les locataires de manière efficace, il devra aussi suspendre les déguerpissements. Ce qui est aussi une revendication de déi Lénk.

Des prix de l’immobilier exorbitants et l’explosion des prix de l’énergie posent des problèmes existentiels à bon nombre de ménage. Financer des marchés dérégulés avec l’argent public sans savoir comment freiner les prix n’est pas une solution pour les gens, c’est une mesure inefficace. La manipulation de l’index est une gifle pour les gens. Ils ont besoin d’une aide immédiate et simple. déi Lénk revendique toujours un chèque énergie versé à chaque ménage sous la forme d’un complément de revenu imposable. Pour éviter que les ménages n’aient à subir à nouveau les effets de la volatilité des prix, l’État doit assumer la mission de l’approvisionnement en énergie. Il pourrait ainsi instaurer un échelonnement des prix en fonction de critères sociaux, prévoir un plafonnement pour un besoin de base pour le chauffage et l’électricité, et rendre plus cher des consommations d’énergie extravagantes.

Communiqué déi Lénk.

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