Aujourd’hui, déi Lénk lance sa campagne pour protéger le droit à l’avortement en l’inscrivant dans la Constitution. Les dernières semaines et les derniers mois montrent que le paysage politique change et que le vent violent qui souffle de la droite se renforce. Le résultat de l’AFD est le symbole du renforcement de l’extrême droite. Cette tendance constitue une menace pour un certain nombre de droits acquis de haute lutte, notamment le droit des femmes à l’autodétermination. Aux États-Unis, les conservateurs et les radicaux de droite se sont attaqués au droit à l’avortement et, dans de nombreux États, la situation s’est radicalement détériorée.
Il y a un an, nos voisins français ont donc décidé d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution, le protégeant ainsi d’éventuelles attaques. Cette initiative a été portée par tous les partis.
En mai 2025, notre député Marc Baum a déposé à la Chambre une proposition de loi afin que le droit à un avortement sécurisé ne soit jamais menacé un Luxembourg. À l’heure actuelle, le droit à l’avortement est régi par une loi. Une majorité simple à la Chambre suffirait pour l’abroger. Or, si l’on inscrit ce droit dans la Constitution, il faut deux tiers des voix à la Chambre, soit 40 députés. “Le droit à l’autodétermination ne doit jamais être remis en question. C’est un droit durement acquis par la lutte féministe”, déclare Marc Baum. Jusqu’à présent, la Commission des droits de l’homme (CCDH) a rédigé un avis positif sur notre proposition. Cependant, nous souhaitons que cette initiative aboutisse et c’est pourquoi nous utilisons l’outil de la pétition (https://dei-lenk.lu/schutzt-drecht-op-ofdreiwung/) pour susciter un large débat au sein de la société et pour renforcer la pression politique. Comme le contexte international est profondément inquiétant, nous devons agir maintenant et c’est pourquoi nous appelons la population à soutenir notre campagne.
Défendre l’avortement par la Constitution.
Aujourd’hui, déi Lénk lance sa campagne pour protéger le droit à l’avortement en l’inscrivant dans la Constitution. Les dernières semaines et les derniers mois montrent que le paysage politique change et que le vent violent qui souffle de la droite se renforce. Le résultat de l’AFD est le symbole du renforcement de l’extrême droite. Cette tendance constitue une menace pour un certain nombre de droits acquis de haute lutte, notamment le droit des femmes à l’autodétermination. Aux États-Unis, les conservateurs et les radicaux de droite se sont attaqués au droit à l’avortement et, dans de nombreux États, la situation s’est radicalement détériorée.
Il y a un an, nos voisins français ont donc décidé d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution, le protégeant ainsi d’éventuelles attaques. Cette initiative a été portée par tous les partis.
En mai 2025, notre député Marc Baum a déposé à la Chambre une proposition de loi afin que le droit à un avortement sécurisé ne soit jamais menacé un Luxembourg. À l’heure actuelle, le droit à l’avortement est régi par une loi. Une majorité simple à la Chambre suffirait pour l’abroger. Or, si l’on inscrit ce droit dans la Constitution, il faut deux tiers des voix à la Chambre, soit 40 députés. “Le droit à l’autodétermination ne doit jamais être remis en question. C’est un droit durement acquis par la lutte féministe”, déclare Marc Baum.
Jusqu’à présent, la Commission des droits de l’homme (CCDH) a rédigé un avis positif sur notre proposition. Cependant, nous souhaitons que cette initiative aboutisse et c’est pourquoi nous utilisons l’outil de la pétition (https://dei-lenk.lu/schutzt-drecht-op-ofdreiwung/) pour susciter un large débat au sein de la société et pour renforcer la pression politique. Comme le contexte international est profondément inquiétant, nous devons agir maintenant et c’est pourquoi nous appelons la population à soutenir notre campagne.